Villebrumier 29 juillet Roustem Saitkoulov

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Gratuit jusqu’à 20 ans

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Réglement sur place en espèces (pas de chèque)
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PROGRAMME

L. van Beethoven
Sonate op. 27 n° 2  (« Clair de lune »)
R. Schumann
Carnaval op. 9
F. Chopin 
Andante spianato et Grande polonaise op. 223
Mazurkas op. 59
F. Liszt
Rhapsodie hongroise n° 12

Ad Vitam Records 2020

Né à Kazan au Tatarstan, ROUSTEM SAITKOULOV se forme au Conservatoire National de son pays, puis au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou (classe d’Elisso Virsaladze). Une série de Prix internationaux lui ouvre les portes des grandes salles de concert autour du monde: la Salle Pleyel, le Théâtre du Châtelet, le Wigmore Hall à Londres, l’Accademia Santa Cecilia à Rome, le Tonhalle de Zurich, le Konzerthaus de Berlin, la Philharmonie de Saint-Petersbourg, le Tokyo Metropolitan Art Space, le NCPA (National Center for the Performing Arts) à Pékin ainsi que la Cité Interdite, l’Opéra de Sydney, le Teatro Colon et le Centre Culturel Nestor Kirchner à Buenos-Aires, le Palacio de Bellas Artes à Mexico, ainsi que dans des festivals majeurs tels que La Roque d’Anthéron, Montreux, Edimbourg (2016)… Son disque « Piano Etudes » (Arensky, Chopin, Prokofiev, Scriabin, Stravinsky) paru chez EMI Classics a fait évènement parmi les critiques européens. Il enregistre en 2020 un nouveau disque : « Chopin » de nouveau acclamé par la critique. Parallèlement, Roustem Saïtkoulov forme avec Maxim Vengerov un duo accueilli dans le monde entier.

« On ne trouvera rien dans le jeu de Roustem Saïtkoulov qui cherche les bravos du parterre. On l’a même vu Salle Gaveau enchaîner trois bis sans nul temps pour les applaudissements afin que la musique ait jusqu’au bout toute la place et qu’au pianiste soit épargnée la cérémonie des saluts comme celle des allers et venues entre coulisses et scène. On craint même que sa personnalité ne le conduise à s’agacer qu’on puisse dire de lui qu’il n’est pas un bon chopinien mais un chopinien exceptionnel. On maintiendra cependant. Il suffit d’écouter la première phrase du disque, et de voir comment l’interrogation douloureuse s’accomplit en un rubato parfait. Ce qui ne signifie en rien qu’il ne rende bien que le Chopin interrogatif : l’autre, le fantastique, est tout autant dans ce disque, et les doigts donnent tout ce qu’il faut donner lorsque la fureur prend le compositeur. Mais chez Roustem Saïtkoulov même la houle reste noble, la virtuosité vertueuse et le désespoir pur. »

Eric Fiat